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dimanche 6 octobre 2019

Fiche historique, les châteaux-forts. Saint-Prix













Fiche N° XIV








۩   Le Château de la chasse, à Saint-Prix

A demi enchassée dans la forêt domaniale de Montmorency, Saint-Prix, située sur le flanc méridional de la vaste butte-témoin portant la forêt de Montmorency domine la vallée de Montmorency. Au coeur de la triangulation Saint-Denis, Roissy-en-France, Auvers-sur-Oise, dans l'axe Sud-Sud-Est de Pontoise, Saint-Prix fut place forte, résidence de chasse, son petit fort accueilla des rois de France et a appartenu à des grandes familles.








Dénomination : Château-Fort


Localisation :   95 390, Saint-Prix
département du Val d'Oise

Région : Ile-de-France


Année de construction : IXe siècle



L'existence du village de Tour est attesté en 1099 lorsque Raoul Deliès, Comte de Pontoise donne ses droits sur ce village ainsi que le village voisin dénommé de Métiger à l'abbaye Saint-Martin-des-Champs. Le village ne compte que 40 habitants en 1470, il est alors la seigneurie des Montmorency qui fondèrent au XIIe siècle dans la forêt de Montmorency, un prieuré transformé en rendez-vous de chasse en 1460 et qui reçut la visite de Louis XI. Pendant la Révolution française, la commune prit le nom de Bellevue-la-Forêt. Elle devint, pendant la Terreur, le refuge de Roland, La Révellière-Lépeaux, Bosc et des proscrits girondins.

Saint-Prix, place forte
Petit château féodal, il est constitué d'une bâtisse carrée de 20 mètres de côté, flanqué de quatre tours rondes de 6 mètres de diamètre. Situé au cœur de la forêt de Montmorency, il est entouré de deux étangs, un de six arpents devant, et l'autre de trois arpents derrière. Au IXe siècle, l'historien de Charlemagne (Eginhard), fait mention d'un château fort dans cette région de la Forêt de Montmorency sous le nom de Castellum de Chassia, qu'il décrit comme château fort imprenable.
Au début du XVe siècle, le château de la Chasse eut un rôle militaire : au mois de décembre 1418, les Bourguignons étaient à Paris depuis le 29 mai, et le château fut confié à cinq « serviteurs ». A Noël, ont cru nécessaire d’y ajouter huit arbalétriers et un archer pavoiseur, sous le commandement d’un capitaine. Le château fut également le théâtre d’évènements guerriers de la lutte entre Armagnacs et Anglais. Les Anglais s’étaient emparés du Château de la Chasse qui leur servit de base pour aller piller les alentours.
Les courtines tiennent en même temps lieu de murs au logis, elles sont reliées entre elles par des courtines. Les tours se situent exactement au Nord, à l'Est, au Sud et à l'Ouest. Elles ont été arasées en 1728 et dotés de toitures à pente unique, couvertes de tuiles plates. Ce remaniement confère au château sa silhouette bien particulière, mais va à l'encontre de son architecture d'origine. De même, la démolition de la courtine Sud-Ouest, la construction d'un nouveau logis, le bouchage des fenêtres d'origine et le percement de nouvelles fenêtres apportent davantage de confort à l'habitation, mais dénaturent fortement le caractère authentique du château médiéval.

Le château servit aussi de garnison pendant la guerre de Cent Ans. Le musée de Chantilly possède plusieurs quittances datées de 1418, données à des soldats pour avoir gardé le château de la Chasse.


L'histoire
Le château de la Chasse, qui appartenait aussi aux Montmorency, passe pour avoir été édifié dès le XIIe siècle. Ses douves et ses étangs étaient alimentés par le ru du Nid-d'Aigle qui recueillait les eaux des vallons situés en amont.
En 1207, Matthieu II (1189-1230), grand connétable de France, y donna une fête en présence de son beau-frère, Simon IV de Montfort (~1165-1218), et du comte Mathieu III de Beaumont (~1155-1208). Plusieurs fois pris et repris pendant la guerre de Cent ans, ce rendez-vous de chasse accueillit les rois de France jusqu'à Henri II (1519-1559).
En 1392, Jacques de Montmorency (1370-1414) avait bâti à proximité deux tuileries et un logis pour sa mère, Pernelle de Villiers.Ces constructions ont été brûlées en 1429 par les Anglais qui pillèrent le couvent du Bois-Saint-Père.
Au XVIIe siècle, un petit hameau s'élevait au sud-est de la forteresse, dont le corps central sur plan carré était flanqué de quatre hautes tours. Le Grand Condé (1621-1686) y fit quelques réparations. Un document daté de 1692 décrit un « fort château bien ancien, fossé sur lequel il y a un pont-levis pour rentrer [...], basse-cour fermée de hautes murailles, devant un étang de six arpents, derrière un autre étang de trois arpents. » Après son dérasement partiel en 1728, on peut citer parmi ses propriétaires Louis Bonaparte (1778-1846) ou le dernier prince de Condé, Louis VI Henri de Bourbon (1756-1830). Le château (inscrit au titre des monuments historiques) appartient aujourd'hui à l'office national des forêts. http://www.valdoise.fr/778-saint-prix.htm

« Si nous en croyons Eginhart, dans sa Vie de Charlemagne, le Château de la Chasse, jouissait d’une réputation de forteresse presque imprenable, grâce à un double rang de fossés, qu’alimentaient plusieurs rapides cours d’eau » expliquait l’historien Lucien Double, en 1869, dans ses Chroniques des pays de Rémollée. Avant lui, c’est André Duchesne (1584-1640), géographe et historien, qui en narrant l’histoire de la maison de Montmorency, parle « d’un viel château avec double fossé qu’on nomme le château de la chasse ». Auguste Rey, historien, maire de Saint-Prix de 1884 à 1893, précise quant à lui qu’il s’agissait d’un bâtiment carré de 12m de côté, avec des angles engagés dans des tours rondes de 16 m de diamètre. Ce château est donc des plus anciens. A la limite des communes de Domont, Bouffémont et Montlignon, il est aujourd’hui l’un des plus remarquables édifices de la Commune de Saint-Prix.

L’origine la plus probable du toponyme viendrait du gaulois cassanus, le chêne, nom qui s’accorde parfaitement avec son implantation sylvestre. La famille de Montmorency reste longtemps propriétaire du domaine. En 1207, Mathieu de Montmorency y reçoit, au nom du roi, Philippe Auguste, le serment du comte de Saint-Pol pour deux fiefs. Guillaume de Montmorency, quant à lui, y accueille le roi Louis XI pour une chasse en forêt. Le château devient ensuite propriété des Condé, puis de Louis Bonaparte, qui l’acquiert sous le premier Empire. Le roi de Hollande y réside avec la reine Hortense (d’où le chemin Madame entre Saint-Leu et La Chasse, passant par Saint-Prix) et son fils, futur Napoléon III. Puis la famille de Condé reprend possession du château, qui est ensuite cédé à la baronne de Feuchères, à la suite de la mort du dernier Condé.

Histoire de la ville
http://www.valmorency.fr/30.html





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Les places fortes entourant l'Ile-de-France

Châteaux, châteaux-fort, donjons
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Le monde des châteaux
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mercredi 2 octobre 2019

Fiche historique. Les donjons. Ambleny
























۝   Le donjon d'Ambleny à Ambleny.



 

Flirtant avec le fleuve Aisne, sur sa rive gauche, entre Soissons et Compiègne à la limite Est du département de l'Oise, Ambleny, placée dans la vallée de l'Aisne, était entourée de places fortes plus ou moins grande, telle: Cuise-la-Motte, Longpont, Coucy-le-château, Soissons,...   Située au Sud-Est du département de l'Aisne, dans l'axe Nord-Est de Pierrefonds à quelques encablures de Soissons, la terre et le village d' Ambleny appartenaient dès le Xe siècle aux chanoines de la cathédrale de Soissons. Plusieurs fiefs composaient se village. 











Dénomination : Donjon


Localisation :  02 290, Ambleny, département de l'Aisne


Région : Hauts-de-France


Anciennement : Donjon de château-fort








Le donjon 

Des constructions analogues permettent de constater que l'on enfermait de murs de sept à huit mètres de haut une enceinte très exigüe que l' on flanquait de tours réparties équitablement sur sa circonférence, elle était toujours précéder d' un large fossé pour en défendre l' accès. Au centre ou à l' une des extrémités, était placée une  tour maîtresse plus forte, plus élevée que les autres, que l' on qualifiait du titre de donjon. Disposition que nous retrouvons à Coucy, à Vic-sur-Aisne et ailleurs. Or, c' est évidemment ce qui a eu lieu pour Ambleny, sa nature de forteresse du second ordre et de la dépendance de Pierrefonds, les fragments de remparts qui subsistaient plus encore au XIXe siècle au Nord, les substructions qui ont été mises à jour à l'Ouest-où se trouvait très probablement le principal corps de logis- tout porte à admettre qu' il a dû en être nécessairement ainsi.

le donjon était terminé à la hauteur de l' entablement à trente mètres environ du sol par une plate forme avec un parapet crénelé, quatre échauguettes s élevaient en flèches circulaires très aiguës et couronnaient les tourelles angulaires. Le milieu était couvert par un pavillon qui avait pour bases les parties rectilignes des murs. L' entrée principale se trouvait à l' Est vers l' église. Nous serions très embarrassés de déterminer quels étaient les travaux de défense qui existaient au Sud et au Sud-Est si nous n' avions recours, pour recomposer ce vieux fort, aux murs crénelés garnis de vigoureux éperons comme celui qui étaye encore l' angle du rempart Nord-Ouest. Ces constructions militaires très variées, revêtues quelquefois de bastions avancés, se rattachaient souvent à la chemise ou l'enveloppe extérieure du donjon. Un fossé ou canal de dix mètres était creusé en avant des fortifications. C' est au centre de ce plateau retranché que fut bâti l' imposant donjon qui subsiste encore grâce a sa solidité et au peu d' avantage qu' a présenté sa destruction à toutes les époques.
Pour vous faire une idée nette et précise du plan de cette tour, rappelez-vous l' antique donjon du château d' Etampes, vous trouverez beaucoup de ressemblance, une sorte d' affinité entre ces deux constructions. On peut même ajouter que celle-ci est bien aménager au point de vue de la régularité du plan et de sa belle conservation extérieure. Le donjon d' Ambleny composé de la réunion de quatre tours cylindriques rapprochées laissant une portion de mur rectiligne entre chacune d' elles, forme une espèce de quadrilatère régulier cantonné à ses angles d' une tour engagée et demi-sphérique. Cet agencement vous a paru comme à moi présenter une certaine analogie avec ces gros piliers d' églises flanqués de colonnes cylindriques, avec cette différence toutefois, qu' ici, le cantonnement a lieu aux angles tandis qu' ailleurs il occupe le beau milieu de la ligne. Il est aisé de voir quel aspect pittoresque offre une construction de ce genre et quelle force de résistance elle doit opposer à l' ennemi puisque ses lignes rectangulaires se trouvant abritées par la saillie des tours sont en partie à couvert des attaques, tandis que de leurs étroits créneaux peuvent partir des engins meurtriers. Du reste les ouvertures étaient peu multipliées dans ces donjons, à peine y avons nous reconnu quelques fenêtres étroites, les embrasures plus larges ne se pratiquaient que dans la partie supérieure. Celles que l' on voit dans le plein des murs ne remontent-elles pas toutes à l' origine de la construction, ce ne sont que des modifications que le temps ou l' usage auquel elles étaient destinées a introduit par la suite. Ces créneaux situés dans la partie inférieure n' étaient positivement que des fentes oblongues et sans évasement et l' on n' accédait au cœur de la forteresse qu' au moyen d' un pont-levis volant établi au dessus du rez-de-chaussée. On voit encore l' entrée de celui-ci à l'Est vis à vis du portail de l église.

Cette tour d' environ 45 mètres de circonférence et de 20 mètres de hauteur ressemble à une énorme colonne tronquée portant une base de 5 mètres, un fût d' environ 15 mètres malheureusement le couronnement de mâchicoulis ou l' entablement crénelé qui se figuraient tel un chapiteau sont tombés ainsi que le toit conique et peut-être les fortins qui s' élevaient comme une guérite pour le chevalier du gué. Comme au donjon d' Etampes l' entrée était placée au niveau du premier étage entre la convexité des tours d' accompagnement, on y arrivait par un pont-levis qui s' abaissait sur le mur d' enceinte. Au-dessus de cette porte, on remarque aussi un couloir qui communiquait dans la tour voisine d' où l' on rejoignait un escalier qui était au-dessus. Les désastres ont été bien plus considérables à l' intérieur, le donjon a perdu depuis longtemps ses voûtes, ses planchers et une partie de ses escaliers, on dirait depuis deux siècles, une vaste et immense cuve donnant au vent, à la tempête et à la pluie, un libre passage. Sa distribution comportait quatre grands étages de 6 à 7 mètres chacun, des arcades en plein cintre mettaient l' intérieur des tours angulaires en communication directe avec la partie centrale, chacune d' elles était éclairée par un créneau. Elles étaient voûtées en pierres sans nervure sans doute que de fortes poutres s' appuyant sur un pilier central soutenaient le plancher de la grande salle du premier étage. Au second étage, le plain des murs rectilignes s' évidait et procurait une position aux soldats qui recevaient le jour entre deux cintres superposés. Au troisième étage, deux des tourelles servant au dégagement de l' escalier présentent des fenêtres carrées ou cintrées. Le sommet du donjon offre une vue délicieuse sur la vallée et embrasse un beau et riant paysage. Nous ne sommes pas surpris que ce panorama enchanteur ait séduit le propriétaire de ce pacifique donjon. On pense qu' il se propose de l' habiter en lui donnant toutefois une destination à la fois utile et artistique. Nous avons lieu d' espérer que M Liénard, qui joint à un génie inventeur le goût des œuvres d' art, n' altérera en rien le caractère monumental de cet édifice qui se recommande suffisamment de lui-même et qu' il aura à cœur de conserver aussi pur que possible ce souvenir de la grandeur et de l' importance de ce pays qu' il aime et chérit comme un pays natal.  


Ce donjon d' une conservation si parfaite, a failli cependant disparaître à la suite de la révolution de 1789. Il fut vendu en 1793 pour être démoli, mais les difficultés qu' on éprouva pour opérer cette démolition, fit que les acquéreurs, dans des frais inutiles, furent obligé de renoncer aux destructions projetées. Le monument ne fut pas sauvé pour cela. Une dénonciation faite au Comité de Salut Public faillit, dit-on, obliger l' acquéreur à consommer au plus vite cet acte d' un ignoble vandalisme. Obéissant quoiqu' à regret aux iniques prescriptions qui régissaient alors la France, le malheureux propriétaire dut, bon gré, mal gré, mettre la main à l' œuvre et essayer de décapiter le plus lentement possible la tête altière de l' inoffensif donjon. Heureusement cette sauvage injonction ne dura pas longtemps, on laissa alors les possesseurs de ruines tranquilles et une foule d' édifices précieux par leurs souvenirs, durent, à cette circonstance inespérée et au peu d' avantage que présentait leur démolition, voir la prolongation de leur existence demeurée.  

suite page 180  https://books.google.fr/books



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Les seigneurs d'Ambleny

1157. Ansculfe d'Ambleny, chev.
1178-84. Hugues Ier d'Ambleny, damoiseau.
1184-88. Wibald , chev. d'Ambleny; femme, Juliane ; Jean, son frère.
1190. Adam d'Ambleny.
1195. Herbert Ier d'Ambleny.
1200. Jean d'Ambleny. Il prit part à la conquête de Constantinople.
1202-04. Hugues II d'Ambleny, chev.; femme, Elizabeth.
1209. Roger d'Ambleny.
1211. Hugues III d'Ambleny, chev.
1225. Herbert II d'Ambleny; femme, Elizabeth.
1250. Gilles le Brun de Trasignies , seigneur d'Ambleny. Il échangea cette terre avec le roi , en 1258, contre celle de Roupy.
1260. Jean II dit Basins, chev. d'Ambleny.
1266. Thomas d'Ambleny dit de Bagneux ; femme, Stismas.
1295. Pierre de St-Germain, seigneur d'Ambleny.
En 1296, le roi vendit la terre et la seigneurie d'Ambleny au chapitre de Soissons.
1301-07. Jean de St-Germain, seigneur d'Ambleny.
1427. Guyard Basins, d'Ambleny, écuyer.


Si les seigneurs de Pierrefonds n’ont jamais possédé la seigneurie d’Ambleny, il parait certain qu’ils étaient les avoués du Chapitre. C‘est à ce titre que celui-ci les autorisa de construire un château, moyennant une redevance de 10 livres par an que le roi de France payait encore en 1296, comme successeur de ces seigneurs. C‘est parce qu’ils étaient chargés de protéger la seigneurie qu’ils percevaient sur les habitants de celle-ci un droit de vin d’avouerie et qu’ils pouvaient réquisitionner trois chevaux pour leur armée.



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Les fiefs

Il y avait jadis à Ambeny trois fiefs nobles nommés l'un de la Tour ou du Donjon, l'autre du Châlel, et le troisième du Pressoir, chacun avec des seigneurs particuliers.


 Le Fief du Donjon était nommé aussi la forteresse du Rondail ou de Fouace.

1200. Yves-Gervais Tristan de Passy, chev., seigneur du Donjon, chambellan du roi Philippe-Auguste, et frère du fameux Pierre Tristan de Passy; femme N., surnommée la Trésorière; enfant, Barthélemi.
12... Bartbélemi de Passy, seigneur du Donjon; femme, Pétronille; enfants: Guillaume, Gervais, Perrette.  
12.. Guillaume de Passy, seigneur ; femme, Isabeau ; enfants : Gentian, Jacqueline, Agnès dite la Marcelle.
1300. Gentian Tristan , chev., seign. dudit ; d'abord huissier d'armes du roi, puis amiral de France; femme, Marguerite de Poilvilain ; enfants, Gentian et Tristan.
1325-49. Gontian Tristan II, seigneur dud., maître enquesteur des eaux et forêts de France. Le fief du Châlel ou de Margouil appartint longtemps aux religieux de Valsery, qui le vendirent à Antoine d'Estrées, seigneur de Coeuvres.


 Le Fief du Pressoir.

1206. Enguerrand d'Ambleny, s. du Pressoir?
1295. Michel le Paumier dit Monthabren, seig. du Pressoir.
1307. Baudet de Montbabren, seigneur dud.
1657. Nicolas de Homblières , écuyer, seigneur dud.; femme, Louise de Bethencourt, veuve de Claude Poulain.


Vu page 13  https://play.google.com/books










La ville d'Ambleny

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L'enceinte Gauloise d'Ambleny
 https://www.persee.fr/doc/bmsap_num_1_1_5934




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