Située à quarante-deux kilomètres au sud de Paris et à une quinzaine de kms au Nord-Est d'Etampes, dans le département de l’Essonne en région Île-de-France, La Ferté est le chef-lieu et le siège du secteur pastoral de La Ferté-Alais-Val d’Essonne.
La Ferté-Alais était une ville forte comme son nom l'indique, la place de guerre, le boulevard... Le canton de la Ferté-Alais fut donc de tout temps la place la plus importante de l' Hurepoix comme il en est maintenant encore le plus original. Le canton appartenait à Thibauld comte de Champagne.
Architecture :
Les anciennes forteresses se nommaient Fermeté d'où est venu La-Ferté-Milon, Ferté-sous-Jouare, La-Ferté-Alais et Ferté-Bernard. On conçoit facilement que les premières combinaisons de la défense et de la guerre l' industrie ont dû prendre cette simple marche avant le temps où l' art leur a offert ses nombreux moyens.
Le château était constitué de tours, fossés, pont-levis et mâchicoulis, bien bâti, bien situé, il fut le refuge d' Alix de Champagne, fille de Thibauld.
La forteresse était entourée de cinq tours, par la suite ce château devint une prison d' état. Des remparts aux murs épais de douze mètres furent construits.
Historique :
En remontant dans les traditions les plus reculées de ce canton nous trouvons qu il appartint au commencement du XIIe siècle à Thibauld comte de Champagne Outre la place forte de la Ferté Thibauld qui était de sa nature un grand fortificateur fît élever, à un kilomètre de la ville, un château-fort.
Ce château bien bâti, bien situé, fut le refuge d'Alix de Champagne fille de Thibauld lorsque ce dernier osa déclarer la guerre au roi de France Louis VII, celui-ci eut bientôt raison de Thibauld et de son orgueil.
Si Dourdan par son importance était le chef lieu de l'ancien Hurepois, joint en 1515 au gouvernement général de l' Ile de France, la Ferté-Alais Ftrmitas Adelahidis en était la ville forte comme son nom l' indique, la place de guerre, le boulevard.
Le canton de la Ferté-Alais fut donc de tout temps le canton le plus important du Hurepois comme il en est maintenant encore le plus original.
Le premier seigneur connu de la cité est Robert Ier, roi de France et grand-père d’Hugues Capet. C’est lui qui, au début du Xe siècle fit construire des forteresses dans les vallées, alors appelées fertés pour protéger Paris des attaques de Normands. En remontant dans les traditions les plus reculées de ce canton, nous trouvons qu'il appartint au commencement du XIIe siècle à Thibauld comte de Champagne.
La commune, qui était alors sous la garde d’un certain Baudoin, prit le nom de La Ferté-Baudoin. Deux paroisses coexistaient alors, Notre-Dame pour la forteresse et Saint-Pierre pour les faubourgs.
Vers 1095, Gui II de Montlhéry prit le contrôle de la forteresse. Il donna alors la paroisse Notre-Dame à l’abbaye de Morigny, bénédictine, relevant du diocèse de Sens avec la charge d’y établir un prieuré.
En 1112, Louis VI éleva la contrée en châtellenie. En 1127, la famille de Rochefort était toujours propriétaire du lieu, le nom évolua en hommage à la comtesse Adélaïde de Rochefort.
De 1114 à 1130, la chapelle seigneuriale fut remaniée pour devenir l’actuelle église Notre-Dame.
Au XIIIe siècle, Saint-Louis acquit la châtellenie qui fut alors rattaché au royaume de France. Durant la Guerre de Cent Ans, la région fut dévastée, le château et les remparts, furent rasés en 1358. Au cours du mois d’avril 1429, Jeanne d'Arc sur le chemin d’Orléans traversa la commune. La cité prospéra grâce à la culture de la vigne, de la production de chaux et plus tard à l’extraction du grès et du sable. Elle fut toutefois ravagée au cours des guerres de religion du XVIe siècle et à nouveau lors de la Fronde au XVIIe siècle. En 1791, la paroisse de Saint-Pierre fut définitivement rattachée à celle de Notre-Dame et l’église fut vendue pour mille six cent livres.
Ce bourg est célèbre dans l'histoire par un siège que son château eut à soutenir contre le roi Louis le Gros. En l'année 1108, Guy, dit le Roux de Rochefort, aidé de son fils Hugues de Crécy, l'un des plus intrépides brigands de cette époque, avait pris les armes contre le roi de France.
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Dénomination : Château-fort
Localisation : 91590, La Ferté-Alais,
département de l'Essonne.
département de l'Essonne.
Région : Ile-de-France
Année de construction : XIIe siècle
Architecture :
Les anciennes forteresses se nommaient Fermeté d'où est venu La-Ferté-Milon, Ferté-sous-Jouare, La-Ferté-Alais et Ferté-Bernard. On conçoit facilement que les premières combinaisons de la défense et de la guerre l' industrie ont dû prendre cette simple marche avant le temps où l' art leur a offert ses nombreux moyens.
Le château était constitué de tours, fossés, pont-levis et mâchicoulis, bien bâti, bien situé, il fut le refuge d' Alix de Champagne, fille de Thibauld.
La forteresse était entourée de cinq tours, par la suite ce château devint une prison d' état. Des remparts aux murs épais de douze mètres furent construits.
Matériaux : Pierre
Historique :
En remontant dans les traditions les plus reculées de ce canton nous trouvons qu il appartint au commencement du XIIe siècle à Thibauld comte de Champagne Outre la place forte de la Ferté Thibauld qui était de sa nature un grand fortificateur fît élever, à un kilomètre de la ville, un château-fort.
Ce château bien bâti, bien situé, fut le refuge d'Alix de Champagne fille de Thibauld lorsque ce dernier osa déclarer la guerre au roi de France Louis VII, celui-ci eut bientôt raison de Thibauld et de son orgueil.
Si Dourdan par son importance était le chef lieu de l'ancien Hurepois, joint en 1515 au gouvernement général de l' Ile de France, la Ferté-Alais Ftrmitas Adelahidis en était la ville forte comme son nom l' indique, la place de guerre, le boulevard.
Le canton de la Ferté-Alais fut donc de tout temps le canton le plus important du Hurepois comme il en est maintenant encore le plus original.
Le premier seigneur connu de la cité est Robert Ier, roi de France et grand-père d’Hugues Capet. C’est lui qui, au début du Xe siècle fit construire des forteresses dans les vallées, alors appelées fertés pour protéger Paris des attaques de Normands. En remontant dans les traditions les plus reculées de ce canton, nous trouvons qu'il appartint au commencement du XIIe siècle à Thibauld comte de Champagne.
La commune, qui était alors sous la garde d’un certain Baudoin, prit le nom de La Ferté-Baudoin. Deux paroisses coexistaient alors, Notre-Dame pour la forteresse et Saint-Pierre pour les faubourgs.
Vers 1095, Gui II de Montlhéry prit le contrôle de la forteresse. Il donna alors la paroisse Notre-Dame à l’abbaye de Morigny, bénédictine, relevant du diocèse de Sens avec la charge d’y établir un prieuré.
En 1112, Louis VI éleva la contrée en châtellenie. En 1127, la famille de Rochefort était toujours propriétaire du lieu, le nom évolua en hommage à la comtesse Adélaïde de Rochefort.
De 1114 à 1130, la chapelle seigneuriale fut remaniée pour devenir l’actuelle église Notre-Dame.
Au XIIIe siècle, Saint-Louis acquit la châtellenie qui fut alors rattaché au royaume de France. Durant la Guerre de Cent Ans, la région fut dévastée, le château et les remparts, furent rasés en 1358. Au cours du mois d’avril 1429, Jeanne d'Arc sur le chemin d’Orléans traversa la commune. La cité prospéra grâce à la culture de la vigne, de la production de chaux et plus tard à l’extraction du grès et du sable. Elle fut toutefois ravagée au cours des guerres de religion du XVIe siècle et à nouveau lors de la Fronde au XVIIe siècle. En 1791, la paroisse de Saint-Pierre fut définitivement rattachée à celle de Notre-Dame et l’église fut vendue pour mille six cent livres.
Ce bourg est célèbre dans l'histoire par un siège que son château eut à soutenir contre le roi Louis le Gros. En l'année 1108, Guy, dit le Roux de Rochefort, aidé de son fils Hugues de Crécy, l'un des plus intrépides brigands de cette époque, avait pris les armes contre le roi de France.
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Le tourisme
La ville de La Ferté-Alais
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